Chorégraphie Léo Lérus, en collaboration avec les interprètes Concept musical Léo Lérus, Gilbert Nouno Dispositifs interactifs sonores et lumières Gilbert Nouno Lumières, régie générale et régie lumière Chloé Bouju Costumes Ingrid Denise Regards extérieurs Clémence Galliard, Michael Getman, Julien Monty Avec NDoho Ange, Maëva Berthelot, Léo Lérus, Shamel Pitts
Production : Compagnie Zimrael – Léo Lérus
Production et soutiens
Coproduction : L’Artchipel – Scène nationale de la Guadeloupe, Théâtre 71 – Scène nationale de Malakoff
Avec le soutien de : DAC Guadeloupe, ADAMI, ONDA, Conseil Régional de la Guadeloupe, Ville de Sainte-Anne
Projet ayant bénéficié du dispositif de résidence « La Fabrique Chaillot » – Chaillot – Théâtre national de la danse (paris)
Léo Lérus
Si Léo Lérus a fait le conservatoire de Paris, dansé au sein de différentes compagnies d’Angleterre, Norvège, Suède, Danemark et Israël, c’est dans l’identité guadeloupéenne de ses origines qu’il va puiser l’inspiration de ses propres pièces. D’abord le Gwoka, fait de musiques, chants et danses aujourd’hui inscrits sur la liste du patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO. Et puis le Lewoz, rythme de combat qui remonte aux heures sombres de l’esclavage, et a donné son nom à des célébrations populaires et festives, où les percussionnistes sont défiés pour suivre les pas d’un danseur sorti de la foule.
En collaboration avec le compositeur Gilbert Nouno, le prodige Léo Lérus explore dans ce spectacle le concept d’entropie, qui évalue le désordre lié à la production d’énergies. Deux danseuses et deux danseurs s’enjaillent en quatuors, revisitent des gestuelles, se défient, se toisent, se rassemblent…. Et font ainsi varier lumières et création sonore grâce à une série de capteurs. Ou comment chorégraphier le désordre vivant.