Derviche درويش

Jan
DIM 19
18h
Pour les enfants dès 4 ans, « Atelier du Pestacle » / atelier cirque avec l'association Bilboquet
Cirque
Musique
Durée 1h10 | À partir de 8 ans
Pour les enfants dès 4 ans, « Atelier Pestacle »
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« Dans les cadences de la musique est caché un secret ; si je le révélais, il bouleverserait le monde. » Rûmi

Danse, cerceaux  Sylvain Julien Musique Bab Assalam Oud, chant Khaled Aljaramani Percussions, oud, chant Mohanad Aljaramani Clarinettes, live electronic Raphaël Vuillard Collaborateur artistique et technique Emmanuel Sauldubois Regards extérieurs Jean Lacornerie & Heinzi Lorenzen Regard danse Annette Labry Lumières Dominique Ryo Costumes Céline Pigeot

 

 

Production +

Coproduction L’autre côté du Monde Prod. & Théâtre de la Croix Rousse-Lyon

Soutiens DRAC, Région Auvergne-Rhône-Alpes, Ville de Lyon, SPEDIDAM et ADAMI

Partenaires Institut du Monde Arabe, Auditorium de Montélimar, La Cascade-Pôle Cirque, Espace Tonkin-Villeurbanne

Bab Assalam invite Sylvain Julien

En 2010, Bab Assalam donnait son dernier concert en Syrie à la citadelle d’Alep, aux côtés d’une dizaine de derviches tourneurs. C’était une fête. Puis vinrent la guerre, les massacres et l’exil. Le groupe aujourd’hui réuni en France réinvente le mythe avec un concert «tourné». En compagnie du circassien Sylvain Julien, le mythe des derviches tourneurs fait revivre la transe soufie et devient une poésie circassienne enchanteresse.

L’univers hypnotique de la danse soufie remonte au grand poète persan du XIIIe siècle, Rûmi, qui prônait la quête d’une spiritualité intérieure, centrée sur la tolérance. Bab Assalam conjugue cette quête spirituelle avec un spectacle où les gestes se fondent pour faire corps avec la musique.Plus de derviches qui appartiennent au passé, c’est à Sylvain Julien qu’il revient de faire tourner le monde, lui qui jongle avec les cerceaux, toujours en recherche du mouvement perpétuel.

Bab Assalam compose une version occidentalisée du cercle du derviche. Ni texte, ni vidéo, ni histoire, mais une suite musicale transcendée par l’art du circassien, qui fait cohabiter les voix des deux musiciens syriens, entourés des ouds et des percussions, avec les sonorités contemporaines de la clarinette basse et de l’électro.

Inspirés de la wasla orientale – une suite de pièces instrumentales et de chants – allant du rythme lent vers une apothéose rapide, la musique emmène le spectateur vers une sensation de bien-être et d’enchantement.

Une ode à l’amour pour une longue transe qui nous mène à l’extase.

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